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                                                   Mah'ammed Ben Yoûsof el Qaïsi a dit :
  "En montant sur la haute voisine d'El Fawwâra, tu apercevras, à tes, pieds, la noble ville de Tlemcen, la reine de la splendeur, ornée d'un diadème, que couronne sa beauté.
Lorsque, sur le soir, le soleil s'inclinera, descends lentement vers le Moçalla
Porte, alors, tes regards sur les nombreux cavaliers qui sillonnent le vaste hippodrome;
car, chaque après dînée, des bandes de chevaux courent sur cette vaste esplanade.
Derrière ce champ de courses, et dans son prolongement, se trouvent le Modjilla et le Moçalla.
(...) Lorsque le soleil sera sur le point de disparaître au couchant, reviens à Tlemcen; entre en ville par la porte de l'hippodrome et ensuite vers Bab el Hadîd en examinant les réunions d'hommes.
Une fois en ville, repose toi un peu puis tu iras du côté du palais du prince le plus juste.
Il est objet des espérances - en nommant le palais, j'emploie une métonymie- et la joie est ressentie, en effet, par les habitants et non par leurs maisons.
Quand tu verras le Commandeur des croyants (Abou H ammoud II) prosterne toi et embrasse la terre!
C'est un monarque plein de justice et l'on recherche son appui ; il est énergique et bien conduit par Allah, en qui il met toute sa confiance.
C'est un homme aux conceptions si hautes, que leur seule renommée dépasse les limites les plus élevées."